Buddléa arbre à papillons
Vanessa atalanta (Le vulcain)
Vanessa Cardui (La Belle-Dame)
Aglais Urticae (La petite tortue)
Inachis io (Paon-du-jour)
Pyronia tithonus (L'Amaryllis)
Buddléa arbre à papillons
Vanessa atalanta (Le vulcain)
Vanessa Cardui (La Belle-Dame)
Aglais Urticae (La petite tortue)
Inachis io (Paon-du-jour)
Pyronia tithonus (L'Amaryllis)
La guerre de Cent ans, dont les opérations militaires se terminèrent dans le Perche en 1419, avait décimé la plus grande partie de la noblesse locale et complètement anéanti les châteaux et les demeures seigneuriales.
Aux premières heures de la Renaissance, une nouvelle noblesse vit le jour et entreprit de relever les terres dévastées par plus d'un siècle de combat.Son installation dans les campagnes fut à l'origine des manoirs qui, à la différence des châteaux, avaient pour vocation première d'accueillir le siège d'une exploitation agricole comprenant des bâtiments de ferme et un corps de logis dont le volume et décor se devaient d'extérioriser la richesse du signeur qui l'habitait. Courboyer est un des rares manoirs du Perche a être classé manument historique.
Les prieurés sont des petites maisons campagnardes administrés, sous la dépendance assez lointaine de l'abbé, par les prieurs. En effet, au Moyen Age, les abbayes administrent leurs domaines depuis les prieurés en y déléguant des moines.Cependant, dès le 14ème siècle, l'église tente de supprimer la dispersion des moines, ce qui a entraîné la disparition d'un grand nombre de prieurés, les domaines restent, mais les prieurés ne sont plus que de vastes exploitations agricoles. Ils deviennent de simples sources de revenus. Les prieurés de Dame-Marie et de Sainte-Gauburge sont voisins et ont été fondés durant le premier quart du 11ème siècle, le 1er en 1023 et le 2ème en 1006.
Le prieuré de Ste Gauburge fondé en l'an Mil par les seigneurs de Bellême et après être passé entre les mains de l'abbaye St Florentin de Bonneval et de Saint-Père de Chartres, le Prieuré fut confié à l'abbaye royale de Saint Denis jusqu'à la révolution.En 1791, les bâtiments conventuels sont vendus et transformés en ferme jusqu'en 1993.